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L’impact de la législation sur les postes en IA et cybersécurité
Imaginez que vous concevez un puissant algorithme d’IA pour prédire la demande sur votre marché. Tout fonctionne à merveille jusqu’au jour où vous découvrez que vos méthodes de collecte de données enfreignent le RGPD. L’addition peut alors se révéler très salée : certaines entreprises ont déjà écopé de millions d’euros d’amende. Ce scénario résume à lui seul la problématique actuelle : comment l’évolution des lois et réglementations (RGPD, lois sur la protection des données, exigences sectorielles) affecte-t-elle les postes en IA et cybersécurité, et quelles sont les compétences désormais indispensables à recruter ?Les régulations au cœur du recrutement : un impératif devenu stratégiqueUn marché de l’emploi sous tensionLes entreprises ne veulent plus simplement des experts techniques capables de coder ou de sécuriser un réseau. Elles recherchent aujourd’hui des professionnels qui maîtrisent les principes légaux essentiels (protection de la vie privée, consentement éclairé, etc.).Pour anticiper les risques et bâtir des solutions conformes, il faut intégrer la réglementation dès la phase de conception. Cette exigence crée une tension sur le marché de l’emploi : les profils « hybrides » alliant compétences techniques et connaissance du cadre légal se font rares, mais leur valeur est inestimable.Quels profils sont particulièrement demandés ?Des ingénieurs IA familiers du RGPD et capables de mettre en place des mécanismes de protection des données dès la création d’un algorithme (privacy by design).Des experts en cybersécurité qui savent non seulement détecter et prévenir les attaques, mais aussi comprendre les obligations légales en cas de violation.Des Data Protection Officers (DPO) ou responsables de la conformité, chargés de veiller au respect des lois sur la protection des données et de communiquer ces exigences à l’ensemble des équipes.Les conséquences réelles : des sanctions qui font réfléchirDes exemples concretsLes régulateurs ne plaisantent plus. Plusieurs grands noms de la tech ont fait les frais de sanctions financières pour non-conformité.Google a été sanctionné en France pour défaut d’information et de consentement.Marriott a dû s’acquitter d’une lourde amende après une importante faille de sécurité.Ces cas soulignent l’importance de renforcer la dimension “compliance” des projets d’IA ou de cybersécurité. Les entreprises qui négligent cet aspect prennent un risque majeur, tant pour leur réputation que pour leur portefeuille.Un impact sur la réputationAu-delà de l’impact financier, une entreprise qui ne se conforme pas aux lois peut perdre la confiance de ses clients et partenaires. Dans un contexte où la confiance numérique est au cœur des préoccupations, se doter d’équipes formées et sensibilisées est non seulement un gage de conformité, mais aussi un avantage compétitif.Nouveaux enjeux, nouvelles approches : réussir son recrutementFormer pour faire face à l’évolution des normesLes lois sur la protection des données et la cybersécurité évoluent vite. Pour garder une longueur d’avance :Mettez en place des programmes de formation continue pour vos équipes techniques.Encouragez la collaboration entre le service juridique et les pôles IT ou R&D.Mettez l’accent sur l’amélioration des process : audits réguliers, documentation claire, etc.Communication et sensibilisation en interneLes décisions légales ne relèvent pas que du service juridique. Chaque collaborateur, du commercial au développeur, doit comprendre les enjeux. Cela exige :De la pédagogie : expliquez avec des mots simples les risques et les bonnes pratiques.Une politique claire : mentionnez dans votre charte interne ce qui est permis ou interdit quant à la manipulation des données.Un suivi régulier : établissez des indicateurs pour mesurer la conformité et partagez-les en toute transparence.La conformité, un atout pour demainSe conformer aux règlementations en matière d’IA et de cybersécurité n’est pas seulement une obligation légale, c’est une opportunité stratégique. En recrutant des profils qui maîtrisent ces aspects, vous protégez votre entreprise des risques juridiques et financiers, tout en renforçant la confiance de vos clients et partenaires.Vous souhaitez bénéficier d’un accompagnement complet pour identifier et attirer les talents capables de relever ces défis ? Chez GetPro, nous vous aidons à sourcer, évaluer et recruter les meilleurs experts, qu’ils soient spécialisés en IA, en cybersécurité ou dans la conformité. Notre équipe vous accompagne pas à pas pour construire et solidifier les fondations légales et techniques de vos projets.Faites-nous confiance pour constituer des équipes qui anticipent et intègrent la réglementation, afin de garantir votre succès dans la durée. 
Thomas Motti
14 avr. 2025
Recrutement tech
Les métiers émergents en cybersécurité
L’essor de la cybersécurité et l’apparition de nouveaux métiersVous l’avez sans doute remarqué : les cyberattaques se multiplient et touchent des entreprises de toutes tailles. C’est un sujet qui inquiète autant les dirigeants d’entreprise que les responsables informatiques. Et si la sécurité en ligne évolue, c’est en grande partie grâce à l’arrivée de nouveaux métiers en cybersécurité.Cette évolution soulève une question essentielle : comment recruter les bons profils pour faire face à des attaques toujours plus complexes ? C’est là que nous pouvons intervenir en tant que cabinet de recrutement spécialisé. Dans cet article, nous allons découvrir plusieurs métiers émergents dans la cybersécurité, comprendre pourquoi ils sont de plus en plus demandés et voir comment se former pour y accéder.Pourquoi de nouveaux métiers apparaissent-ils en cybersécurité ?Le paysage des menaces informatiques évolue rapidement. Les hackers rivalisent de créativité pour s’introduire dans les systèmes informatiques, ce qui oblige les entreprises à renforcer leur niveau de protection. Résultat : de nouvelles spécialisations apparaissent.Complexité grandissante : Les virus, les rançongiciels (ransomwares) ou encore les campagnes de phishing sont toujours plus sophistiqués. Les anciens modèles de défense ne suffisent plus.Transformation numérique généralisée : Le télétravail, le cloud et les applications collaboratives transforment la façon de travailler. Les frontières entre privé et professionnel s’effacent, et les risques se multiplient.Besoin de réactivité : Les entreprises doivent repérer les menaces avant qu’elles ne causent des dommages. C’est pourquoi certains métiers se focalisent sur la détection précoce et l’automatisation des réponses aux incidents.En somme, ces métiers émergents répondent à de nouveaux enjeux. Les recruteurs recherchent des talents capables de combiner des compétences techniques et une grande capacité d’adaptation.Trois métiers incontournables pour mieux se protégerChaque poste possède son champ d’expertise spécifique. Voici trois rôles clés qui se distinguent particulièrement.Threat Intelligence AnalystCet expert se consacre à la recherche et à l’analyse des menaces.Il traque les failles potentielles, s’intéresse à la manière dont les pirates agissent et anticipe les prochaines attaques.Les entreprises ont besoin de ces profils pour rester informées des dernières tendances en matière de cybercriminalité.Security Automation EngineerSa mission ? Automatiser les processus de sécurité, de la détection à la réponse aux incidents.Il met en place des outils capables d’alerter les équipes le plus tôt possible, tout en éliminant de nombreuses tâches manuelles répétitives.Cela permet de gagner du temps et d’éviter que des menaces ne passent inaperçues.DevSecOps SpecialistLe DevSecOps rassemble trois équipes : développement, sécurité et exploitation (Ops).Le spécialiste DevSecOps veille à intégrer la sécurité à chaque étape du cycle de vie d’un logiciel.Son objectif : s’assurer que les applications et services sont protégés dès leur conception et que tout le monde adopte les bonnes pratiques.Autres métiers qui montent en puissancePour aller plus loin, voici d’autres rôles qui gagnent du terrain :Cloud Security Architect : Conçoit la sécurité dans les environnements cloud (AWS, Azure, GCP) et protège les données stockées en ligne.Privacy Engineer : Garantit la protection des données personnelles en conformité avec les réglementations (RGPD, etc.).Cybersecurity Data Scientist : Analyse des volumes importants de données pour repérer les comportements suspects et modéliser les menaces.Chaque poste répond à des besoins précis, mais tous contribuent à renforcer la même mission : protéger les actifs numériques de l’entreprise.Se former pour intégrer ces métiers d’avenirLa bonne nouvelle, c’est qu’il existe plusieurs voies pour devenir un expert en cybersécurité. Pas besoin d’un parcours linéaire ou ultra-technique dès le départ. Voici quelques pistes :Formations universitaires : De nombreux masters en cybersécurité voient le jour. Ils proposent des modules pointus sur la détection des menaces et la création d’outils de protection.Certifications professionnelles : (ISC)², ISACA ou encore SANS offrent des programmes pour valider des compétences recherchées sur le marché (CISSP, CISA, etc.).Bootcamps et écoles spécialisées : Idéaux pour apprendre rapidement les bases ou se spécialiser, ces formations courtes sont très appréciées des recruteurs.Apprentissage en continu : Dans un domaine qui évolue vite, la veille technologique est indispensable : suivre l’actualité, participer à des conférences, tester de nouvelles plateformes.Pour conclure : passer à l’action pour renforcer votre cybersécuritéLa cybersécurité ne se limite plus à quelques généralistes. Les nouveaux métiers comme Threat Intelligence Analyst, Security Automation Engineer ou DevSecOps Specialist offrent des compétences de pointe pour se défendre efficacement. Les entreprises ont besoin de ces experts, et le marché des talents est encore en pleine expansion.Notre conseil : n’attendez pas qu’une attaque survienne pour agir. Pour bâtir une équipe solide et polyvalente, il est essentiel de recruter dès maintenant ces profils spécialisés.Chez GetPro, notre rôle est de vous accompagner dans cette démarche. Nous identifions les candidats les mieux adaptés à vos besoins et nous facilitons votre recrutement grâce à notre expertise. Alors si vous êtes prêt à passer à l’étape suivante et sécuriser votre organisation, contactez-nous dès aujourd’hui. Nous serons ravis de vous aider à trouver les futurs experts qui sauront protéger votre entreprise. 
Thomas Motti
14 avr. 2025
Recrutement tech
Les métiers clés de l’intelligence artificielle : panorama et enjeux
Depuis quelques années, l’intelligence artificielle (IA) s’est imposée comme l’un des principaux moteurs d’innovation dans le monde professionnel. Qu’il s’agisse d’automatiser des tâches répétitives, d’optimiser des processus ou de révolutionner notre rapport à la data, les technologies basées sur l’IA offrent un potentiel sans précédent. Au cœur de cette révolution se trouvent des métiers variés et complémentaires, dont le rôle est de concevoir, de déployer et de piloter les solutions d’IA au sein des entreprises. Dans cet article, nous proposons un tour d’horizon des principaux métiers de l’IA, en détaillant leurs missions, leurs compétences requises ainsi que les opportunités qu’ils représentent sur le marché du travail.Data ScientistMissions et responsabilitésLe Data Scientist occupe une place centrale dans l’écosystème de l’intelligence artificielle. Son rôle consiste à exploiter des données variées (données clients, données issues de capteurs, logs, etc.) pour en extraire des informations utiles et exploitables par l’entreprise. Au quotidien, il construit des modèles statistiques et de machine learning, met en place des pipelines de traitement des données et participe à l’interprétation des résultats pour faciliter la prise de décision. Son approche se veut à la fois mathématique et informatique.Compétences requisesSolides bases en statistiques et probabilitésMaîtrise des algorithmes de machine learning (régression, classification, clustering, etc.)Expertise en programmation (Python, R, SQL, et parfois Scala ou Julia selon les environnements)Compréhension des outils de big data (Hadoop, Spark) et des bibliothèques d’IA (TensorFlow, PyTorch, Scikit-learn)Capacité à communiquer et à vulgariser les résultats (visualisations, rapports, présentations)Évolution et opportunitésAvec la croissance exponentielle du volume de données, la demande de Data Scientists n’a jamais été aussi forte. Ils peuvent évoluer vers des postes de Lead Data Scientist, de Chief Data Officer ou encore s’orienter vers le conseil. À mesure que l’IA se développe dans de nouveaux secteurs (santé, finance, industrie, commerce…), les perspectives s’étendent et les salaires associés sont souvent très compétitifs.Machine Learning EngineerMissions et responsabilitésSi le Data Scientist se concentre sur la modélisation et l’exploration des données, le Machine Learning Engineer, quant à lui, met l’accent sur la production et l’industrialisation de ces modèles. Son rôle est de développer des solutions logicielles robustes et performantes pour intégrer les modèles de machine learning dans des applications concrètes (applications web, systèmes embarqués, plateformes internes). Il doit également gérer le déploiement continu (CI/CD) et l’optimisation en conditions réelles des algorithmes d’IA.Compétences requisesExcellentes connaissances en programmation (Python, C++, Java, etc.)Maîtrise des frameworks de deep learning (TensorFlow, PyTorch)Connaissance approfondie des architectures de déploiement (microservices, conteneurs Docker, Kubernetes)Capacité à optimiser les performances et à assurer la scalabilité des systèmes IACulture du DevOps et des pratiques d’intégration continueÉvolution et opportunitésLa fonction de Machine Learning Engineer est particulièrement recherchée dans les entreprises souhaitant passer à l’échelle leurs projets d’IA. Avec la maturité croissante de la discipline, ces professionnels deviennent des piliers incontournables pour assurer la transition entre le prototype et la solution industrialisée. À terme, un Machine Learning Engineer peut évoluer vers des postes d’architecte IA, de responsable R&D ou de CTO (Chief Technology Officer).3. Data EngineerMissions et responsabilitésLe succès d’un projet d’IA repose grandement sur la qualité et l’accessibilité des données. Le Data Engineer est le spécialiste de la conception, de la mise en place et de la maintenance des infrastructures de données. Il crée et gère les bases de données, les pipelines d’ingestion et de transformation de données, ainsi que les outils pour rendre ces données accessibles aux équipes data et IA. Son rôle est donc fondamental pour garantir la fiabilité, la sécurité et la performance des systèmes qui alimentent les algorithmes.Compétences requisesMaîtrise des technologies de bases de données (SQL, NoSQL)Solide connaissance des frameworks big data (Hadoop, Spark)Compétences avancées en scripting et programmation (Python, Scala, Java)Compréhension des bonnes pratiques de conception d’architecture dataConnaissances en sécurité et gouvernance des donnéesÉvolution et opportunitésLe Data Engineer peut évoluer vers des postes d’architecte data ou d’architecte cloud, et collaborer étroitement avec les équipes DevOps et IA. À l’heure de la transformation numérique, sa présence est indispensable pour toutes les entreprises qui souhaitent centraliser, traiter et valoriser de grands volumes d’informations.AI Researcher (Chercheur en IA)Missions et responsabilitésL’AI Researcher – ou chercheur en intelligence artificielle – se consacre à l’exploration et à la création de nouvelles méthodes, algorithmes et approches dans le domaine de l’IA. Il s’agit souvent d’un profil issu de la recherche universitaire, qui conserve un lien étroit avec le monde académique. Son travail consiste à publier des articles scientifiques, à participer à des conférences, à réaliser des expérimentations pointues et à améliorer la performance et la robustesse des modèles existants.Compétences requisesNiveau avancé en mathématiques, en particulier en algèbre linéaire, en probabilités et en statistiquesSolides connaissances en algorithmie et en structure de donnéesMaîtrise approfondie des techniques de machine learning, de deep learning et des sujets plus pointus (NLP, computer vision, reinforcement learning, etc.)Capacité à prototyper des idées de recherche dans un environnement de programmation (Python, C++ ou autre)Excellentes compétences en rédaction scientifique et en communication de résultatsÉvolution et opportunitésLes AI Researchers sont particulièrement présents dans les laboratoires de recherche (publics ou privés) et dans les grands groupes technologiques (GAFA, éditeurs de logiciels spécialisés). Ils peuvent également fonder ou rejoindre des start-up où leur expertise est très valorisée pour innover et se démarquer de la concurrence. Dans un contexte où les algorithmes deviennent de plus en plus complexes, leur rôle est essentiel pour concevoir des approches de pointe et faire évoluer l’état de l’art de l’IA.Data AnalystMissions et responsabilitésLe Data Analyst se situe à l’interface entre la donnée, l’analyse métier et la prise de décision. Il se focalise sur l’exploration et la visualisation des données afin d’identifier des tendances, des corrélations et d’éventuels leviers d’optimisation. Son rôle n’est pas toujours directement associé à la conception d’algorithmes complexes, mais il est indispensable pour traduire les résultats d’analyse en recommandations concrètes pour les équipes opérationnelles (marketing, finance, ressources humaines, etc.).Compétences requisesBonne maîtrise des outils d’analyse et de data visualization (Tableau, Power BI, etc.)Connaissances en SQL et, dans certains cas, en Python ou R pour automatiser les traitementsCapacité d’interprétation des données et compréhension du business de l’entrepriseAisance dans la communication écrite et orale pour présenter les résultats à des interlocuteurs non techniquesÉvolution et opportunitésLe Data Analyst peut évoluer vers un rôle de Data Scientist s’il développe des compétences plus poussées en modélisation et en machine learning, ou vers un poste de Product Manager Data s’il souhaite se spécialiser dans la gestion de produits et de projets data. Dans un contexte de démocratisation de la donnée, son profil est très demandé, aussi bien dans les grands groupes que dans les PME.AI Product Manager (Chef de produit IA)Missions et responsabilitésL’AI Product Manager assure la cohérence entre les objectifs business de l’entreprise et le développement des solutions d’IA. Il est responsable de définir la vision produit, de prioriser les fonctionnalités et de coordonner les équipes data, développement et design autour d’une même feuille de route. Sa mission inclut également la gestion du cycle de vie du produit IA, depuis l’idéation jusqu’à la commercialisation, en passant par la phase de test et de déploiement.Compétences requisesConnaissance à la fois des modèles d’IA et des enjeux businessCapacité de gestion de projet et de coordination d’équipes multidisciplinairesExcellentes aptitudes en communication et en négociationFamiliarité avec les méthodes agiles (Scrum, Kanban)Vision stratégique pour évaluer l’impact et la rentabilité d’une solution IAÉvolution et opportunitésÀ l’heure où l’IA s’impose dans toutes les strates de l’entreprise, le rôle de l’AI Product Manager gagne en importance. Il peut évoluer vers un poste de Head of Product ou de Chief Product Officer, voire se spécialiser encore plus dans la stratégie data et IA en devenant Chief Data Officer. Les entreprises technologiques et les start-up en particulier sont très friandes de ce type de profil pour piloter leurs innovations.AI Ethics & Compliance OfficerMissions et responsabilitésAvec l’essor de l’IA, des problématiques éthiques et réglementaires émergent, liées notamment à la protection des données personnelles, à la transparence des algorithmes, ou encore aux risques de discrimination. L’AI Ethics & Compliance Officer se charge d’identifier ces enjeux, de définir des lignes directrices éthiques et de s’assurer que l’entreprise respecte les normes en vigueur (RGPD en Europe, par exemple). Il peut également intervenir dans la formation des équipes pour sensibiliser aux bonnes pratiques.Compétences requisesConnaissances solides en droit du numérique et en conformité (RGPD, CNIL, etc.)Bonne compréhension des principes de fonctionnement de l’IA et de la gestion des donnéesVision éthique et capacité à formuler des recommandations clairesEsprit de synthèse pour aligner les enjeux techniques, business et juridiquesÉvolution et opportunitésBien que plus récent que les autres métiers, ce rôle tend à se développer à mesure que les entreprises prennent conscience de la responsabilité qui leur incombe en matière de traitement des données et d’usage des algorithmes. Les opportunités sont nombreuses dans les grands groupes, les administrations, mais aussi dans les start-up qui souhaitent déployer des solutions IA de manière responsable.Ingénieur spécialisé (Vision par ordinateur, NLP, etc.)Missions et responsabilitésAu sein de la grande famille de l’IA, on trouve également des ingénieurs spécialisés dans des domaines particuliers : la vision par ordinateur (computer vision), le traitement du langage naturel (NLP), la robotique, ou encore le reinforcement learning. Leur expertise technique pointue leur permet de résoudre des problématiques complexes liées à un champ d’application précis : analyse d’images et de vidéos, compréhension et génération de langage, planification de trajectoires de robots, etc.Compétences requisesMaîtrise avancée des techniques et bibliothèques spécifiques à la spécialité (OpenCV pour la vision, spaCy ou NLTK pour le NLP, etc.)Connaissances approfondies des modèles de deep learning applicables (CNN pour la vision, RNN ou Transformers pour le NLP…)Capacité à analyser et à traiter un volume important de données spécialisées (images, textes, signaux)Compétences en programmation, en algorithmique et en mathématiques Évolution et opportunitésCes ingénieurs spécialisés sont particulièrement demandés dans les secteurs qui reposent sur des technologies très spécifiques, comme la reconnaissance faciale, la voiture autonome, la traduction automatique ou encore les assistants virtuels. Leurs perspectives de carrière peuvent inclure la direction technique d’un pôle R&D ou la création de start-up ciblant un besoin de niche.Pour conclureL’intelligence artificielle est un domaine en expansion constante, soutenu par l’explosion du volume de données et les progrès fulgurants des technologies de machine learning et de deep learning. Au cœur de cette transformation, on retrouve une pluralité de métiers complémentaires : Data Scientist, Machine Learning Engineer, Data Engineer, AI Researcher, Data Analyst, AI Product Manager, AI Ethics & Compliance Officer et Ingénieur spécialisé. Chacun de ces rôles apporte une expertise spécifique pour faire vivre l’IA au sein des entreprises et contribuer à son adoption massive.La demande pour ces profils ne cesse de croître, et les perspectives de carrière sont particulièrement attractives. Non seulement ces métiers offrent une forte valeur ajoutée, mais ils permettent également à ceux qui les exercent d’évoluer dans un univers passionnant et en constante évolution. Avec l’essor de l’IA, les défis se multiplient : garantir la qualité des données, assurer la scalabilité des systèmes, respecter les normes éthiques et juridiques ou encore anticiper les ruptures technologiques futures. Autant de problématiques auxquelles les professionnels de l’IA répondent, façonnant ainsi l’innovation et l’économie de demain. 
Thomas Motti
7 avr. 2025
Recrutement tech
Cybersécurité : tendances et enjeux en 2025
La cybersécurité est devenue un enjeu majeur pour toutes les entreprises, et cette tendance ne fera que s’accentuer d’ici 2025. À mesure que les cyberattaques se multiplient et se complexifient, les professionnels des ressources humaines et du recrutement se demandent comment attirer et fidéliser les meilleurs experts en cybersécurité. Comment anticiper ces évolutions et faire face aux défis futurs ? C’est tout l’objet de cet article.De nouvelles cyber-menaces à l’horizon 2025Les avancées technologiques, telles que l’intelligence artificielle ou l’Internet des objets (IoT), créent de formidables opportunités. Mais elles représentent aussi autant de portes d’entrée potentielles pour les cyberattaques.Menaces ciblées : les ransomwares s’affinent et visent particulièrement les données sensibles des grandes entreprises, voire des organisations gouvernementales.Attaques sophistiquées : le phishing évolue vers des stratégies plus élaborées (spear phishing, deepfakes, etc.), rendant la détection plus difficile.Risques liés à l’IoT : l’augmentation du nombre d’appareils connectés (caméras, capteurs, systèmes industriels) ouvre la voie à de nouveaux vecteurs d’intrusion.Pour les responsables RH et du recrutement, ces tendances se traduisent par un besoin accru de spécialistes capables de prévenir, détecter et gérer ces menaces en temps réel.Des compétences techniques et humainesPour faire face à ces nouveaux enjeux, il ne suffit plus d’embaucher des profils maîtrisant seulement les firewalls ou l’analyse de vulnérabilités. Les organisations recherchent désormais des experts qui savent conjuguer expertise technique et sens stratégique. À cela s’ajoutent des qualités transverses, comme la capacité à travailler en équipe et à gérer la pression.Les grands domaines d’expertise à renforcer en 2025Les tendances en matière de sécurité informatique s’accompagnent d’une spécialisation de plus en plus poussée des rôles. On distingue notamment :Cyber Threat Intelligence (CTI)Analyser, anticiper et comprendre les intentions des cybercriminels afin de proposer une défense proactive.Sécurité du cloudAvec la généralisation du télétravail et des solutions SaaS, la sécurisation des données hébergées à l’extérieur de l’entreprise devient cruciale.Sécurisation des systèmes industrielsDans les secteurs sensibles (énergie, transport, santé), les menaces d’intrusion font craindre des perturbations majeures, voire des risques pour la sécurité publique.Gestion des identités et des accès (IAM)Contrôler et réguler qui a accès à quoi, notamment sur des infrastructures multi-sites ou internationales.Conformité et réglementationLes lois évoluent rapidement (RGPD, réglementations sectorielles), et il faut des experts capables d’aligner la stratégie cybersécurité aux exigences légales.Chacun de ces domaines requiert des compétences bien particulières et répond à des enjeux de protection et de contrôle de plus en plus marqués.Recruter et fidéliser les talents en cybersécuritéMiser sur la formation continueLes technologies évoluent à une vitesse fulgurante. Pour rester compétitifs, les professionnels de la cybersécurité doivent s’engager dans un apprentissage permanent. En tant que décideur RH ou manager, la proposition de plans de formation, de certifications et de programmes d’évolution de carrière est un levier stratégique pour attirer et retenir ces spécialistes.Valoriser la marque employeurDans un secteur en pénurie de profils hautement qualifiés, la réputation de l’entreprise fait toute la différence. Mettre en avant la culture d’innovation, la politique de télétravail ou encore la flexibilité des horaires peut être déterminant pour convaincre un expert de vous rejoindre.Afficher clairement les possibilités d’évolution : passer d’un poste d’ingénieur sécurité à un rôle de responsable cybersécurité.Proposer des avantages compétitifs : congés parentaux étendus, soutien au développement personnel, etc.Collaborer avec un cabinet de recrutement expertTrouver les bonnes personnes, au bon moment et avec les bonnes compétences, constitue un défi majeur en 2025. L’expérience de GetPro, spécialisé dans la recherche de talents tech, permet de dénicher rapidement des profils pointus, adaptés à la culture et aux exigences de chaque entreprise. Nous connaissons les besoins spécifiques du marché et disposons d’un réseau solide de professionnels prêts à relever les défis de la cybersécurité de demain.4. Anticiper l’avenir : rôle stratégique du RHLes responsables RH occupent une position clé dans la stratégie de sécurité globale. Ils sont souvent la première ligne de défense contre les failles liées à l’humain (erreurs, manque de formation, etc.). De plus, le recrutement en cybersécurité doit s’intégrer dans la vision long terme de l’entreprise.Bâtir une équipe équilibrée : associer des experts très techniques à des professionnels de la gouvernance et de la conformité.Promouvoir une culture de la cybersécurité : sensibiliser l’ensemble des collaborateurs aux bonnes pratiques et aux enjeux à venir.Maintenir un dialogue constant avec les acteurs internes (DSI, métiers) et externes (cabinets spécialisés, organismes de formation).Pour conclureL’horizon 2025 s’annonce riche en défis pour la cybersécurité. Les menaces se diversifient, les technologies se perfectionnent et les besoins en compétences évoluent. Pour les responsables et directeurs RH, recruter les meilleurs experts et les accompagner dans leur évolution est un enjeu crucial. Vous souhaitez anticiper les prochaines tendances, renforcer vos équipes et mettre en place une stratégie de recrutement adaptée ? Contactez GetPro dès maintenant. Nos spécialistes sauront vous guider pour bâtir un pôle cybersécurité solide et préparer sereinement l’avenir de votre entreprise.
Thomas Motti
7 avr. 2025
Recrutement tech
Comment l’intelligence artificielle transforme le recrutement : applications, avantages et limites
L’intelligence artificielle (IA) redéfinit les pratiques de recrutement en permettant d’automatiser, d’optimiser et de personnaliser les processus de sélection. Pour les entreprises, l’IA n’est plus une simple tendance mais un atout stratégique, indispensable pour identifier les talents adaptés, réduire le temps de traitement des candidatures et améliorer l’expérience candidat. Ce guide complet détaille les applications concrètes de l’IA dans le recrutement, ses avantages, ses limites et les raisons pour lesquelles il peut être judicieux de faire appel à un cabinet spécialisé pour en tirer pleinement profit.1. Automatisation du tri des CV et pré-sélection des candidats : gagner en efficacitéLa présélection des candidatures représente l’un des usages les plus répandus de l’IA en recrutement. Les systèmes de suivi des candidatures (ATS) équipés d'algorithmes de machine learning permettent aujourd’hui de trier les CV avec une grande efficacité. Des plateformes comme LinkedIn Talent Insights ou HireVue utilisent des algorithmes capables d’analyser les compétences techniques et les soft skills (compétences interpersonnelles) des candidats en fonction des critères précis du poste.L’intelligence artificielle, et notamment le traitement du langage naturel (NLP), permet aux ATS d’extraire et d’interpréter les informations des CV : mots-clés, compétences techniques et expériences pertinentes. Par exemple, pour un poste de développeur, un algorithme repère automatiquement des mots-clés comme « Python » ou « JavaScript » pour présélectionner les candidats aux compétences adéquates.Bénéfice : une présélection rapide et précise, libérant les recruteurs des tâches répétitives et leur permettant de se concentrer sur des activités plus stratégiques comme l’entretien des candidats.2. Chatbots de recrutement : offrir une expérience candidat interactive et engagéeLes chatbots de recrutement sont devenus des outils incontournables pour améliorer l’expérience candidat. Basés sur des technologies d’IA et de traitement du langage naturel, des chatbots comme Mya Systems et Olivia répondent aux questions fréquentes des candidats, facilitent le suivi des candidatures, et envoient des rappels ou des mises à jour personnalisées.Ces agents conversationnels peuvent être intégrés au site de l’entreprise pour guider les candidats tout au long de leur parcours, depuis la soumission de candidature jusqu’à la planification des entretiens. Grâce à leur capacité à personnaliser les échanges en fonction des profils et des besoins des candidats, les chatbots augmentent le niveau d'engagement tout en renforçant l'image de marque employeur.Bénéfice : une expérience candidat enrichie et une communication instantanée qui améliorent la satisfaction et l’engagement des talents potentiels.3. Résumé automatisé des entretiens : optimiser la prise de notes et faciliter les comparaisonsL’IA simplifie également le travail des recruteurs pendant et après les entretiens d’embauche. Des outils comme Noota.io ou Fireflies permettent d’enregistrer, de transcrire et de résumer les échanges de manière automatique. Ces outils, en analysant les discussions, génèrent des résumés clairs des points abordés : compétences techniques, expériences, style de communication et soft skills.Ces résumés permettent aux recruteurs d’avoir une trace fidèle de chaque entretien et facilitent les comparaisons entre candidats, réduisant les risques d’oublis ou d’interprétations erronées. La possibilité d’inclure des extraits spécifiques de réponses dans les résumés améliore également la précision de l’évaluation.Bénéfice : un gain de temps significatif pour les recruteurs, qui peuvent se concentrer davantage sur l’analyse des réponses plutôt que sur la prise de notes.4. Tests de compétences automatisés : évaluer les hard skills et soft skills en toute objectivitéLes tests de compétences techniques et comportementales sont des éléments clés dans l’évaluation des candidats. Avec des plateformes comme Codility, HackerRank et Pymetrics, l’IA propose des tests personnalisés qui permettent d'évaluer les hard skills (compétences techniques) et les soft skills (compétences comportementales) de manière objective.Les outils de test basés sur l’IA analysent les réponses des candidats pour identifier leurs forces et faiblesses, et génèrent des rapports d’évaluation détaillés. Ces rapports permettent de mesurer de manière précise l’adéquation d’un candidat avec les exigences du poste et la culture d’entreprise.Bénéfice : une évaluation standardisée et objective, réduisant les biais humains et améliorant la qualité des embauches.S’appuyer sur la science pour analyser vos candidats5. Rédaction d’offres d’emploi optimisées : attirer les bons profils avec un langage inclusifL’IA peut également être un atout pour rédiger des offres d’emploi optimisées et inclusives. Des outils comme Textio analysent le texte des annonces pour proposer des formulations claires, attractives et dépourvues de biais. Par exemple, ces outils identifient des mots ou expressions susceptibles de refléter un biais de genre et proposent des alternatives.Cette optimisation du langage permet de rendre les annonces plus inclusives et d’attirer une diversité de candidats, favorisant ainsi l’équité et la diversité dès le début du processus de recrutement.Bénéfice : des offres d’emploi plus inclusives et attractives, élargissant le vivier de candidats et contribuant à une culture d’entreprise plus diversifiée.6. Planification automatisée des entretiens : simplifier la logistique grâce à l’IAOrganiser des entretiens peut rapidement devenir complexe, surtout lorsqu’il faut jongler avec les disponibilités de plusieurs parties. L’IA facilite cette organisation avec des assistants virtuels comme Clara ou X.ai qui planifient les entretiens en fonction des disponibilités des recruteurs et des candidats.Ces outils prennent en compte les fuseaux horaires, les préférences de chaque partie, et envoient des rappels automatiques pour éviter les oublis. La planification automatisée des entretiens réduit ainsi les échanges fastidieux pour fixer une date, simplifiant la gestion des plannings.Bénéfice : une logistique simplifiée pour les recruteurs, réduisant les tâches administratives et minimisant les erreurs d’organisation.7. Suivi de l’engagement et feedback post-entretien : améliorer en continu l’expérience candidatL’IA permet également de mesurer l’engagement et la satisfaction des candidats après leurs entretiens grâce à des outils comme Qualtrics ou Survale. Ces plateformes envoient automatiquement des questionnaires aux candidats pour recueillir leur feedback sur le processus de recrutement, l’accueil, et la transparence de l’information.Les résultats de ces questionnaires sont analysés pour produire des indicateurs de satisfaction, permettant aux équipes RH d’identifier les points d’amélioration dans l’expérience candidat.Bénéfice : une optimisation continue du processus de recrutement, renforçant l’image de marque employeur et attirant plus facilement de nouveaux talents.8. Avantages et limites de l’IA dans le recrutement : trouver le bon équilibreL'IA dans le recrutement apporte de nombreux avantages, mais elle pose également des défis qu’il est essentiel de prendre en compte.AvantagesGain de temps : L’automatisation du tri des CV, de la présélection et des tests de compétences permet de réduire le temps passé sur des tâches répétitives.Précision : Grâce aux modèles de machine learning, les outils d’IA assurent un matching des compétences plus précis, améliorant ainsi la qualité des profils retenus.Expérience candidat enrichie : Les chatbots et agents conversationnels augmentent l’interaction et la transparence, renforçant l’engagement des talents potentiels.Diversité et inclusion : En réduisant les biais humains, les modèles d’IA bien conçus favorisent des pratiques de recrutement plus équitables et inclusives.LimitesBiais algorithmiques : Si les modèles sont formés sur des données biaisées, ils peuvent reproduire ces biais. Il est donc indispensable de concevoir des modèles éthiques et de surveiller leur fonctionnement.Coût d’implémentation : La mise en place de solutions d’IA performantes implique un investissement initial, notamment pour adapter les algorithmes aux besoins spécifiques de chaque entreprise.Acceptation par les candidats : Certains candidats peuvent se méfier des technologies d’évaluation automatisées, d’où l’importance de la transparence et d’une gestion éthique de l’IA.Ces avantages et défis soulignent l'importance d'utiliser l’IA de manière équilibrée, en garantissant une approche transparente et respectueuse des candidats.Pour conclureSi l’IA offre de nombreuses possibilités pour améliorer le recrutement, son intégration nécessite expertise et stratégie pour en tirer le meilleur parti. Faire appel à un cabinet de recrutement expérimenté comme GetPro permet aux entreprises de bénéficier d’un accompagnement sur mesure dans l’intégration de l’IA au recrutement.En tant que spécialiste du recrutement tech, GetPro met en œuvre des stratégies de recrutement innovantes et adaptées, tout en veillant aux meilleures pratiques d’IA et d’éthique. GetPro aide les entreprises à recruter les meilleurs talents en valorisant une expérience candidat enrichie et une sélection précise, tout en renforçant leur marque employeur.En travaillant avec GetPro, les entreprises assurent une transition optimale vers un recrutement moderne et efficace, aligné sur leurs objectifs de performance et de diversité.
Thomas Motti
6 nov. 2024
Recrutement tech
VP Engineering : Fiche Métier
Le VP Engineering, ou Vice-Président de l’ingénierie, est un cadre technique de haut niveau. Il dirige les équipes d’ingénieurs et s’assure que la stratégie technique s’aligne sur les objectifs de l’entreprise. Dans une entreprise technologique ou une startup, il joue un rôle central pour transformer la vision en réalité technique, tout en veillant à la qualité, l’innovation, et l’efficacité des processus d’ingénierie.Le rôle du VP Engineering : Un chef d’orchestre techniqueImaginez le VP Engineering comme le chef d’orchestre des équipes techniques. Il veille à ce que chacun joue sa partition correctement tout en coordonnant l’ensemble pour atteindre les objectifs de l’entreprise. Il doit s’assurer que les projets avancent, que les choix technologiques sont solides et que les équipes travaillent efficacement ensemble.Pour bien comprendre le rôle du VP Engineering, décomposons-le en plusieurs fonctions clés :Diriger les équipes d’ingénieursLe VP Engineering gère les équipes techniques, en organisant le recrutement, la formation et l’encadrement des ingénieurs et développeurs. Dans une entreprise qui crée un produit technologique, comme une application, il répartit les rôles pour que chacun ait des responsabilités spécifiques : certains vont concevoir l’interface utilisateur, d’autres s’occuper de l’infrastructure (les fondations cachées du produit) et d’autres encore de la sécurité des systèmes. Son rôle est de coordonner et d’aligner les efforts de chaque équipe pour un résultat cohérent et performant.Assurer la qualité technique et mettre en place les meilleures pratiquesLe VP Engineering introduit des meilleures pratiques pour garantir la qualité et l’efficacité du développement. Cela inclut la revue de code (un processus de vérification du travail pour éviter les erreurs), l’automatisation des tests (pour s’assurer que le produit fonctionne correctement après chaque modification), et la documentation (pour que chacun comprenne comment le produit fonctionne).Ces méthodes permettent d’assurer que le produit est scalable (capable de gérer plus d’utilisateurs sans problème) et robuste (fiable). Le VP Engineering, dans cette optique, veille à ce que le produit soit techniquement solide, comme un chef de cuisine qui applique des normes de qualité strictes pour garantir une expérience irréprochable aux clients.Aligner la technologie avec la stratégie de l’entrepriseUn VP Engineering doit s’assurer que la technologie sert bien les objectifs stratégiques de l’entreprise. Il travaille main dans la main avec d’autres départements comme le marketing et le produit pour que les équipes techniques répondent aux besoins des clients. Par exemple, si l’objectif de l’entreprise est de créer une application rapide et conviviale, le VP Engineering veillera à ce que le code et l’infrastructure soient optimisés pour la vitesse.Gérer les projets et respecter les délaisLe VP Engineering est responsable de la gestion des projets. Il planifie les étapes de développement et surveille les délais. Il crée des feuilles de route (ou roadmaps) qui définissent les échéances des projets et s’assure que chaque équipe respecte ces délais. S’il dirige par exemple le développement d’une nouvelle fonctionnalité, comme le paiement fractionné dans une application de paiement, il s’assure que cette fonctionnalité est prête à temps pour son lancement.Encourager l’innovation et anticiper les évolutions technologiquesDans un monde où la technologie évolue constamment, le VP Engineering joue un rôle d'innovateur. Il surveille les nouvelles tendances technologiques (comme le cloud computing ou le Big Data) et explore leur potentiel pour l’entreprise. Il peut aussi encourager les membres de son équipe à tester des technologies émergentes ou à proposer des idées nouvelles, instaurant ainsi une culture de l'innovation.Gérer le budget et les ressourcesLe VP Engineering s’occupe de l’allocation des ressources : il gère le budget de l’équipe technique, incluant l’achat de nouveaux outils, les investissements en infrastructures et le recrutement. S’il estime que de nouveaux ordinateurs ou logiciels sont nécessaires, il doit justifier ces dépenses et s'assurer qu'elles respectent le budget. Cela signifie qu’il optimise les dépenses pour maximiser la qualité tout en évitant le gaspillage.Différences avec le rôle de CTOBien que le VP Engineering et le CTO collaborent souvent étroitement, leurs rôles diffèrent.CTO (Chief Technology Officer) : Le CTO est souvent davantage impliqué dans la stratégie de haut niveau et l'innovation technologique. Il se concentre sur la vision technologique de l’entreprise, surveille les évolutions du marché et peut se positionner comme un leader d'opinion.VP Engineering : De son côté, le VP Engineering est plus axé sur l'exécution et la gestion opérationnelle. Son rôle est de transformer la vision du CTO en réalité en gérant les équipes techniques et en supervisant le développement des produits.Dans les petites entreprises ou startups, ces deux rôles peuvent être combinés, mais dans les structures plus matures, ils sont souvent distincts pour une meilleure répartition des responsabilités.Compétences clés du VP EngineeringPour être un bon VP Engineering, plusieurs compétences sont indispensables :Compétences techniques approfondies : Le VP Engineering doit maîtriser des technologies avancées comme les infrastructures cloud, l’architecture logicielle, les méthodologies agiles (comme Scrum et Kanban), ainsi que les langages de programmation pertinents (par exemple, Python, Java, ou JavaScript selon l’entreprise). Cela lui permet de comprendre les défis auxquels ses équipes font face.Capacité de leadership : Il gère et encadre des équipes, les motive et les soutient pour qu’elles donnent le meilleur d’elles-mêmes. Il doit aussi être capable de résoudre des conflits et de faire preuve de diplomatie dans ses interactions.Vision stratégique : Le VP Engineering doit penser au-delà du simple développement de produit pour comprendre comment la technologie peut servir les objectifs d'entreprise. Cette vision stratégique lui permet de prendre des décisions en ligne avec la mission de l’entreprise.Compétences en communication : Il doit communiquer efficacement avec les autres départements, comme le marketing, les produits et même la direction générale pour s’assurer que tout le monde avance dans la même direction.Esprit analytique : Dans son rôle, il doit analyser des métriques de performance (comme les KPIs techniques) pour évaluer les progrès de l’équipe, détecter des problèmes potentiels et ajuster les processus en conséquence.Les formations privilégiées pour devenir VP EngineeringIl n’existe pas de parcours unique pour devenir VP Engineering, mais plusieurs formations et expériences sont souvent privilégiées :Études en ingénierie informatique : La majorité des VP Engineering ont un diplôme en ingénierie ou en sciences informatiques. Un cursus dans une école d’ingénieur (en France, des écoles comme l’INSA, CentraleSupélec ou Polytechnique) ou une université spécialisée est généralement un bon point de départ.Expérience en développement de logiciels : La plupart des VP Engineering commencent comme développeurs logiciels ou ingénieurs avant de progresser vers des rôles de leadership. Une expérience d’au moins 10 ans dans le domaine technique est souvent demandée, incluant des postes de manager ou de directeur technique.Formations en gestion et leadership : Comme le VP Engineering gère des équipes et des budgets, des formations en management et en leadership (comme des MBA ou des certifications en gestion de projets) sont très utiles.Approfondissement dans des méthodologies agiles : Les formations en méthodologies agiles et en DevOps sont un atout important pour maîtriser les processus modernes de développement.La rémunération du VP EngineeringLa rémunération d’un VP Engineering dépend de la taille de l’entreprise, de sa localisation, et de son secteur d’activité. En France, la rémunération peut se situer entre 90 000 € et 150 000 € bruts par an, mais dans des grandes entreprises ou des entreprises de la tech très performantes, elle peut dépasser les 150 000 € et atteindre des niveaux supérieurs avec les bonus et stock-options.Dans les startups en phase de croissance, la rémunération peut être inférieure, mais elle est souvent complétée par des actions dans l’entreprise, ce qui peut s’avérer très intéressant si la startup connaît un succès important.En résuméLe VP Engineering est un cadre technique avec une expertise technologique, une vision stratégique et de solides compétences en gestion. Il coordonne les équipes techniques, garantit la qualité et l’efficacité des processus, gère le budget et encourage l'innovation. Ce poste nécessite des compétences techniques pointues, des capacités de leadership et une bonne compréhension des enjeux stratégiques de l'entreprise. Pour y accéder, une formation en ingénierie informatique couplée à une expérience significative en développement et en gestion est essentielle, et la rémunération est attractive, reflétant l’importance et la responsabilité du poste.Recruter votre nouveau VP Engineering ? 
Thomas Motti
29 oct. 2024
Recrutement tech
Machine Learning Engineer
Vous êtes fasciné par l’intelligence artificielle, les algorithmes qui apprennent par eux-mêmes, et les technologies capables de transformer des montagnes de données en solutions innovantes ? Le métier de Machine Learning Engineer pourrait bien être fait pour vous. Véritable architecte de l'IA, cet expert joue un rôle central dans l'automatisation des systèmes intelligents qui révolutionnent des secteurs entiers. Quelles sont les missions d’un Machine Learning Engineer ? Quelles compétences sont nécessaires pour exceller dans ce domaine ? Et surtout, comment rejoindre cette profession en plein essor ? Plongeons ensemble dans l'univers captivant de ce métier d'avenir !Un Machine Learning Engineer, qu’est-ce que c’est ?Un Machine Learning Engineer est un expert en intelligence artificielle (IA) spécialisé dans la création, l'optimisation et le déploiement de modèles d’apprentissage automatique (machine learning). Ce métier est à l’intersection de la data science, du développement logiciel et de l'ingénierie informatique. En d'autres termes, le Machine Learning Engineer utilise des données et des algorithmes pour développer des systèmes capables d’apprendre et de s’améliorer sans intervention humaine constante.Le rôle de cet ingénieur est de permettre aux entreprises de tirer parti des données massives pour automatiser des tâches complexes, améliorer la prise de décision, ou encore créer des produits intelligents comme des systèmes de recommandation ou des outils de reconnaissance d’image. Les domaines d’application sont vastes et vont de la santé à la finance, en passant par le e-commerce ou les technologies de pointe comme la voiture autonome.Quelles sont les missions d’un Machine Learning Engineer ?Conception et développement de modèles de machine learningLa principale mission du Machine Learning Engineer est de concevoir et développer des modèles d’apprentissage automatique qui s’appuient sur des techniques comme le supervised learning, l’unsupervised learning, ou encore le deep learning. Ces modèles permettent de résoudre des problématiques variées, qu'il s'agisse de prédire des comportements clients ou de détecter des fraudes dans des transactions financières.Prétraitement et gestion des donnéesAvant même de pouvoir construire un modèle, une des étapes critiques consiste à préparer les données. Le Machine Learning Engineer s’occupe de l’ingénierie des caractéristiques (feature engineering) et du prétraitement des données (data preprocessing), qui incluent le nettoyage, la transformation et la normalisation des données. Cette étape garantit que les informations utilisées pour former le modèle sont propres, pertinentes, et structurées pour en maximiser l’efficacité.Optimisation et ajustement des modèlesL’ajustement des hyperparamètres et l’optimisation sont essentiels pour améliorer la précision des prédictions du modèle. Le Machine Learning Engineer utilise des techniques comme la cross-validation pour évaluer et ajuster les modèles, évitant ainsi des phénomènes comme le surapprentissage (overfitting) ou le sous-apprentissage (underfitting).Déploiement et mise en productionUne fois le modèle formé et optimisé, il est temps de passer à sa mise en production. Le Machine Learning Engineer doit veiller à ce que le modèle soit déployé dans un environnement stable, souvent en collaboration avec des équipes DevOps ou des ingénieurs des données. Le but est de s'assurer que le modèle fonctionne de manière fluide et continue, que ce soit pour des prédictions en temps réel ou via des traitements par lot (batch processing).Les compétences clés d’un bon Machine Learning EngineerMaîtrise des outils et langages techniquesUn bon Machine Learning Engineer doit avoir une connaissance approfondie de bibliothèques comme TensorFlow, PyTorch, scikit-learn et Keras. Ces outils lui permettent de construire des modèles sophistiqués et de les entraîner de manière efficace. La maîtrise de langages comme Python, R ou SQL est également essentielle pour manipuler des données et implémenter des algorithmes.Solides compétences en mathématiques et statistiquesL'algèbre linéaire, les probabilités, et les statistiques sont au cœur des algorithmes de machine learning. Un Machine Learning Engineer doit comprendre ces fondements pour concevoir des modèles performants et les ajuster de manière fine, tout en étant capable de détecter des biais ou évaluer la précision des modèles à l’aide de métriques comme la précision, le rappel ou l’AUC.Capacité d’analyse et résolution de problèmesChaque projet de machine learning implique des défis uniques. Ainsi, le Machine Learning Engineer doit être capable de poser les bonnes questions, de structurer les données et de choisir les bonnes approches algorithmiques en fonction du problème à résoudre. Sa capacité d’analyse critique et de résolution de problèmes est donc essentielle pour identifier les obstacles et ajuster le modèle en conséquence.Comment devenir Machine Learning Engineer ?Les formations initialesPour devenir Machine Learning Engineer, il est généralement recommandé de suivre un cursus d’ingénieur spécialisé dans des domaines comme l'informatique, les mathématiques, la data science ou encore l'intelligence artificielle. De plus en plus d'universités proposent des spécialisations en machine learning ou en IA. Ces formations fournissent les bases nécessaires en algorithmique, statistiques et développement logiciel.Les certifications et spécialisationsDes certifications en ligne proposées par des plateformes comme Coursera, edX ou Udacity offrent des programmes spécialisés en machine learning et deep learning. Ces certifications permettent de se familiariser avec des outils comme TensorFlow ou PyTorch, et de développer des compétences pratiques à travers des projets concrets.L’expérience pratiqueL’un des aspects clés pour réussir en tant que Machine Learning Engineer est l'expérience pratique. Participer à des projets personnels, contribuer à des open-source ou travailler sur des défis proposés par des plateformes comme Kaggle permet de se confronter à des problèmes réels et de développer une expertise précieuse.Quel est le salaire d’un Machine Learning Engineer ?Le salaire d’un Machine Learning Engineer varie en fonction de son expérience, de la taille de l’entreprise et du secteur dans lequel il travaille. En France, un ingénieur débutant peut espérer un salaire de 40 000 à 50 000 euros brut annuels. Avec de l’expérience, ce salaire peut grimper à 70 000 euros voire plus dans certains cas, notamment pour des entreprises spécialisées en IA ou des grands groupes technologiques.Aux États-Unis et dans les marchés internationaux, les salaires peuvent être encore plus élevés, particulièrement dans des entreprises de la Silicon Valley, où les rémunérations des experts en machine learning peuvent dépasser les 120 000 dollars annuels pour les profils expérimentés.Pour conclureRecruter un Machine Learning Engineer est devenu une nécessité pour les entreprises souhaitant exploiter le plein potentiel de leurs données et automatiser des processus complexes. Que ce soit pour améliorer les systèmes existants ou pour développer des solutions innovantes, ce métier requiert une expertise pointue en algorithmes, en données et en développement logiciel.Le métier de Machine Learning Engineer offre de belles opportunités dans un secteur en pleine croissance. Les entreprises à la recherche de profils spécialisés doivent s'assurer d'attirer et de retenir des talents dotés de compétences techniques solides, d'une capacité d'analyse critique et d'une expertise pratique acquise au travers de projets variés. 
Thomas Motti
21 oct. 2024
Fiches métiers
Recrutement tech
Développeur React
Développeur React, qu’est-ce que c’est ?Le développeur React est un spécialiste du développement front-end utilisant React.js. Créée par Facebook, React est une bibliohtèque JavaScript qui permet de construire des interfaces utilisateur dynamiques et réactives. Les développeurs React sont très recherchés pour leur capacité à créer des applications web performantes et modulaires.Vous souhaitez recruter un Développeur React ?Quelles sont les missions d’un développeur React ?Conception et développement d’interfaces utilisateurLa principale mission d’un développeur React est de concevoir et développer des interfaces utilisateur (UI). Il utilise React pour créer des composants réutilisables qui forment les différentes parties de l'application. Ces composants permettent de créer des interfaces modulaires et faciles à maintenir.Intégration avec les APILe développeur React travaille en étroite collaboration avec les développeurs back-end pour intégrer les API. Il doit s'assurer que les données provenant des serveurs sont correctement affichées et manipulées dans l'application. Cette tâche nécessite une bonne compréhension des concepts de requêtes HTTP et de manipulation de données asynchrones.Optimisation des performancesL'optimisation des performances est une autre mission clé. Le développeur React doit veiller à ce que l'application soit rapide et réactive. Cela implique l'utilisation de techniques telles que le lazy loading, la virtualisation des listes, et la gestion efficace de l'état avec des outils comme Redux ou Context API.Tests et débogageLes développeurs React sont responsables de tester et de déboguer leur code. Ils utilisent des frameworks de test comme Jest ou React Testing Library pour s'assurer que les composants fonctionnent correctement. Le débogage nécessite une attention particulière aux détails et une capacité à résoudre des problèmes complexes.Les compétences clés d’un bon développeur React ?Maîtrise de JavaScript et ReactUne solide connaissance de JavaScript est essentielle pour tout développeur React. Il doit également maîtriser les concepts de base de React, comme les composants, les hooks, et le state management. La compréhension des dernières fonctionnalités de JavaScript (ES6 et au-delà) est également cruciale.Compétences en HTML et CSSBien que React soit principalement une bibliothèque JavaScript, une bonne connaissance de HTML et CSS est nécessaire pour créer des interfaces utilisateur attrayantes. Les développeurs React doivent être capables de structurer le contenu avec HTML et de styliser les composants avec CSS ou des solutions de styles-in-JS comme Styled Components.Gestion de l’étatLa gestion de l’état est un aspect fondamental du développement avec React. Les développeurs doivent être à l'aise avec les outils de gestion de l’état comme Redux, MobX, ou la Context API. Comprendre comment gérer l'état de l'application de manière efficace est crucial pour garantir des performances optimales.Outils et environnement de développementLes développeurs React utilisent divers outils et environnements de développement. Ils doivent être familiers avec des outils comme Webpack, Babel, et npm. La connaissance des systèmes de contrôle de version comme Git est également importante pour travailler en équipe.Comment devenir développeur React ?Formation initialePour devenir développeur React, une formation initiale en informatique, développement web ou génie logiciel est recommandée. Un diplôme universitaire (Licence, Master) dans l'un de ces domaines peut être un atout, mais de nombreux développeurs réussissent également grâce à des parcours autodidactes ou des bootcamps de codage.Apprentissage de ReactL'apprentissage de React passe par la pratique. De nombreuses ressources en ligne, comme les tutoriels et les cours sur des plateformes comme Udemy, Coursera, et Codecademy, permettent de se former efficacement. La documentation officielle de React est également une excellente ressource pour les débutants et les développeurs expérimentés.Expérience pratiqueLa pratique est essentielle pour maîtriser React. Travailler sur des projets personnels, contribuer à des projets open source, ou réaliser des stages sont autant de moyens de gagner de l'expérience. Créer un portfolio de projets est également bénéfique pour démontrer ses compétences aux employeurs potentiels.Certifications et formation continueDes certifications peuvent renforcer un CV et démontrer un niveau de compétence aux employeurs. Des plateformes comme LinkedIn Learning et freeCodeCamp offrent des certifications reconnues. La formation continue est importante pour rester à jour avec les nouvelles versions et fonctionnalités de React.Quel est le salaire d’un développeur React ?Salaire de départLe salaire d'un développeur React débutant se situe généralement entre 35 000 et 45 000 euros brut par an. Ce montant peut varier en fonction de la localisation, de la taille de l'entreprise et des compétences du candidat.Salaire en milieu de carrièreAvec quelques années d'expérience, un développeur React peut espérer un salaire compris entre 50 000 et 70 000 euros brut par an. Les compétences en optimisation des performances et en gestion de l'état peuvent augmenter cette rémunération.Salaire en fin de carrièreLes développeurs React expérimentés, en particulier ceux occupant des postes de lead développeur ou d’architecte front-end, peuvent percevoir des salaires dépassant les 80 000 euros brut par an. Les missions de conseil et les projets internationaux sont généralement les mieux rémunérés.Pour plus d'informations sur les opportunités de carrière et les meilleurs cabinets de recrutement IT, consultez la page suivante : Meilleurs cabinets de recrutement ITEn conclusion, le métier de développeur React offre de nombreuses opportunités pour ceux qui sont passionnés par le développement web et les interfaces utilisateur. Avec une demande croissante pour les compétences React, ce métier promet un avenir riche en défis et en satisfactions. 
Thomas Motti
26 juil. 2024
Recrutement tech
Fiches métiers
Développeur SAP
Développeur SAP, qu’est-ce que c’est ?Le métier de développeur SAP est au cœur de la gestion et de l'optimisation des systèmes d'information des entreprises. SAP, qui signifie Systems, Applications, and Products in Data Processing, est un logiciel de gestion intégré largement utilisé par les grandes entreprises pour gérer leurs opérations commerciales et leurs relations avec les clients. Le développeur SAP est un professionnel spécialisé dans le développement, la configuration et la maintenance de ce système complexe.Vous souhaitez recruter un Développeur SAP ?Quelles sont les missions d’un développeur SAP ?Analyse des besoinsLa première mission d'un développeur SAP est de comprendre les besoins de l'entreprise. Il collabore avec les différents départements pour recueillir et analyser leurs exigences afin de proposer des solutions adaptées. Cette étape est cruciale pour s'assurer que les fonctionnalités développées répondront aux attentes des utilisateurs.Développement et personnalisationLe développeur SAP est responsable de la conception et du développement de nouvelles fonctionnalités. Il utilise des langages de programmation spécifiques à SAP, comme ABAP (Advanced Business Application Programming), pour créer des modules personnalisés. Ces développements doivent s'intégrer harmonieusement avec les modules existants du système SAP.Maintenance et supportUne fois les fonctionnalités mises en place, le développeur SAP assure leur maintenance. Il doit être réactif pour corriger les éventuels bugs et améliorer continuellement les performances du système. Il est également sollicité pour fournir un support technique aux utilisateurs et les aider à résoudre leurs problèmes.Documentation et formationLa documentation est une part essentielle du travail du développeur SAP. Il rédige des manuels d'utilisation et des guides techniques pour les nouveaux développements. En outre, il peut être amené à former les utilisateurs finaux et les équipes techniques internes pour garantir une utilisation optimale des nouvelles fonctionnalités.Les compétences clés d’un bon développeur SAP ?Maîtrise techniqueUn développeur SAP doit posséder une solide connaissance des langages de programmation SAP, en particulier ABAP. La compréhension des bases de données et des architectures logicielles est également essentielle. Des compétences en développement web et mobile peuvent être un atout supplémentaire.Capacité d’analyseL'analyse des besoins et des processus métier est une compétence centrale pour un développeur SAP. Il doit être capable de décomposer les problèmes complexes et de proposer des solutions adaptées. Une bonne compréhension des processus métiers spécifiques à l’industrie dans laquelle il travaille est souvent nécessaire.CommunicationLa capacité à communiquer efficacement avec les utilisateurs et les autres membres de l'équipe est cruciale. Le développeur SAP doit être capable d'expliquer des concepts techniques à des non-spécialistes et de comprendre leurs besoins pour proposer des solutions adéquates.AdaptabilitéLe monde des technologies de l'information évolue rapidement, et un développeur SAP doit être prêt à se former continuellement. Il doit rester à jour avec les nouvelles versions de SAP et les innovations technologiques qui peuvent impacter son travail.Comment devenir développeur SAP ?Formation initialePour devenir développeur SAP, une formation initiale en informatique, génie logiciel ou systèmes d'information est généralement requise. Un diplôme universitaire (Licence, Master) dans l'un de ces domaines est souvent nécessaire pour accéder aux postes de développeur SAP.Certifications SAPLes certifications SAP sont très appréciées et souvent exigées par les employeurs. Elles attestent des compétences spécifiques dans l'utilisation et le développement des modules SAP. Ces certifications sont disponibles dans différents domaines, tels que la finance, la logistique, et le développement.Expérience professionnelleUne première expérience dans le domaine du développement logiciel ou des systèmes d'information est un atout important. Les stages et les alternances permettent de se familiariser avec l'environnement SAP et d'acquérir des compétences pratiques.Formation continueLa formation continue est essentielle pour rester compétitif. Des cours en ligne, des ateliers et des conférences permettent de se tenir à jour avec les dernières avancées technologiques et les nouvelles fonctionnalités de SAP.Quel est le salaire d’un développeur SAP ?Salaire de départLe salaire d'un développeur SAP débutant se situe généralement entre 35 000 et 45 000 euros brut par an. Ce montant peut varier en fonction de la taille de l'entreprise, de sa localisation et du niveau de compétence du candidat.Salaire en milieu de carrièreAvec plusieurs années d'expérience, un développeur SAP peut espérer un salaire compris entre 50 000 et 70 000 euros brut par an. Les certifications et les compétences spécialisées peuvent également influencer positivement la rémunération.Salaire en fin de carrièreLes développeurs SAP les plus expérimentés, notamment ceux qui occupent des postes de lead développeur ou de consultant SAP, peuvent percevoir un salaire dépassant les 80 000 euros brut par an. Les missions de conseil et les projets internationaux sont souvent mieux rémunérés. Pour plus d'informations sur les opportunités de carrière et les meilleurs cabinets de recrutement IT, consultez la page suivante : Meilleurs cabinets de recrutement IT En conclusion, le métier de développeur SAP offre de nombreuses opportunités pour ceux qui sont prêts à s'engager dans une carrière technique exigeante mais gratifiante. Avec une demande croissante pour les compétences SAP, ce métier est promis à un bel avenir. 
Thomas Motti
26 juil. 2024
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Emile PennesCo-fondateur de GetPro