Enjeux RH

RSE : 10 actions concrètes à mettre en place

17 février 2023
Sommaire

La Responsabilité Sociale (ou Sociétale) des Entreprises est un vaste chantier où l’on peut se perdre tant les enjeux sont nombreux. Pourtant, d’après une étude de France Stratégie (2016), la RSE procure un gain de performance de 13%. Voici dix actions à mener pour améliorer la vôtre. Sachant que les jeunes talents prennent de plus en plus en compte cette (bonne) pratique pour choisir l’entreprise qu’ils souhaitent rejoindre.

1. Débloquer un budget RSE 

Une entreprise sur trois n’a pas de budget consacré à la RSE et 21% des entreprises y accordent moins de 5000 euros de budget annuel, selon le baromètre RSE 2021. Mais, dans cette même étude, il est précisé qu’un tiers des entreprises interrogées ont un budget supérieur à 20.000 euros et parmi elles 12% ont même un budget de plus de 100.000 euros ! Avant de penser au ROI, encore faut-il donc déjà débloquer des fonds, en fonction, bien sûr, de la taille de votre société. 

2. Rédiger une charte éthique

La charte éthique est le reflet de votre démarche RSE. Elle s’applique à tous les collaborateurs et aux dirigeants. Vous pouvez la publier en interne mais aussi vous en servir pour communiquer vis à vis de l’externe. Il s’agit de définir les principes et les valeurs phares de l’entreprise ainsi que ses bonnes pratiques commerciales. Vous vous engagez, par exemple, à ne pas avoir recours au travail des enfants ou à privilégier des fournisseurs locaux. 

3. Former vos collaborateurs à la RSE

Pour adhérer, il faut connaître et comprendre. Aussi, une formation dédiée aux enjeux RSE pour vos salariés ne peut que renforcer leur engagement. Selon une étude de Cone Communication (2016), 55% des employés préfèrent travailler pour une entreprise socialement responsable que dans une entreprise sans stratégie RSE, quitte à percevoir un salaire plus bas.  

4. Réduire vos dépenses énergétiques

“C’est pas Versailles ici…” Ce slogan, devenu viral, ne s’applique pas qu’à notre consommation électrique domestique. Au bureau aussi il est possible de faire facilement des économies d’énergie. Par exemple, en éteignant les lumières et les ordinateurs avant de partir. Également, en baissant un peu le chauffage l’hiver et en n’abusant pas de la clim’ l’été. Mais, cela passe aussi par d’autres petits gestes. Selon les bons conseils d’Engie, il est ainsi conseillé de faire attention à son volume de mails et de pièces jointes qui ont, eux aussi, une empreinte carbone.

5. Trier les déchets à tous les échelons

Un salarié du secteur tertiaire génère entre 120 et 140 kg de déchets par an. Le papier représente 75% de ces déchets. Savez-vous pourtant que depuis le 1er janvier 2018, la collecte séparée des papiers de bureau est obligatoire pour toutes les administrations publiques et les entreprises de plus de vingt personnes ? Ce qui nous mène à quatre poubelles distinctes : une pour le papier, une pour le verre, une pour le recyclage et une pour le reste. 

Bannissez le plastique et notamment les gobelets de la fontaine à eau ou de la machine à café. Optez pour des matériaux durables. Et donnez l’exemple ! 

6. Encourager la mobilité douce

Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de votre entreprise, vous pouvez tout d’abord encourager la mobilité douce. Pourquoi ne pas envisager une prime pour tout collaborateur qui viendra travailler à pied, en vélo ou même en trottinette ? Vous pouvez également promouvoir le co-voiturage. Depuis 2020, le gouvernement a mis en place un forfait mobilités durables qui remplace l’indemnité kilométrique vélo. Ce dispositif est avantageux pour l’employé et pour l’employeur puisque cette indemnité est exonérée de cotisations sociales, de CSG-CRDS et d’impôt sur le revenu. Enfin veillez à transformer progressivement votre parc automobile en optant pour des véhicules hybrides ou 100% électriques. 

7. Promouvoir le télétravail

Popularisé, par la force des choses, pendant la crise du Covid, le télétravail est un bon moyen de réduire l’empreinte carbone de l’entreprise. D’après une étude de l’ADEME (2015), le télétravail permet de diminuer de 30% les impacts environnementaux liés aux trajets domicile-bureau. Cette pratique permet aussi, en règle générale, de rendre ses employés plus heureux. Ce qui fait également partie du contrat RSE. De plus en plus de sociétés font d’ailleurs du télétravail un argument pour attirer les candidats à l’embauche. Attention toutefois à bien respecter le droit à la déconnexion.  

8. Agir en faveur de l’égalité hommes-femmes

En 2019, le revenu salarial des femmes restait inférieur en moyenne de 22% à celui des hommes, c’est ce que relève l’INSEE. La première action à mener c’est donc une revalorisation des salaires pour tendre vers la célèbre formule : à travail égal, salaire égal. 

Pour atteindre la parité, c’est évidemment une opération de plus longue haleine en matière de recrutement… Mais on peut aussi installer certaines pratiques dans l’entreprise où la parentalité reste un frein pour les femmes et, par exemple, éviter d’organiser des réunions le mercredi ou en soirée. Enfin, travailler à l’amélioration de l’égalité hommes-femmes ne doit pas faire oublier qu’il est tout aussi indispensable d’agir en faveur de la diversité et de l’inclusion

9. Mettre en place des indicateurs

Pour tirer les bénéfices de votre stratégie RSE et pour cerner les points à améliorer, mettre en place des indicateurs est une étape incontournable. Il y en a des centaines, à vous de choisir ceux qui conviennent le mieux à votre entreprise. Parmi les indicateurs environnementaux, citons l’empreinte carbone de l’entreprise et des salariés ou la part d’émissions de gaz à effet de serre compensées mais aussi le nombre de fournisseurs respectueux de l’environnement. Parmi les indicateurs sociaux, se distinguent par exemple : le taux d’absentéisme, le nombre de salariés ayant reçu une formation ou l’indice de satisfaction de la qualité de vie et de la santé au travail. 

10. Last but not least : Communiquer

Grâce à ces fameux indicateurs, vous êtes en mesure de construire votre rapport RSE qui sera la base de votre communication interne et externe. Car il ne suffit pas de dire “nous sommes engagés en faveur du développement durable” ou “nous sommes pour la parité hommes-femmes”. Encore faut-il le prouver, témoigner d’actions concrètes dans une approche multicanale. La RSE est aussi, bien entendu, une affaire d’image. Attention cependant à ne pas en faire trop tout de même. 

Auteur
Author ImageThomas Motti
Partager
Facebook iconLinkedin iconMessenger iconMail iconX icon
D'autres articles pourraient vous intéresser
Enjeux RH
Pourquoi les managers de transition sont souvent des "super généralistes"
Dans un monde du travail en constante évolution, les entreprises doivent souvent faire face à des situations d’urgence ou à des projets stratégiques complexes. Que ce soit pour piloter un changement organisationnel, combler une absence imprévue, ou accompagner une fusion-acquisition, le recours à un manager de transition s’impose souvent comme la solution idéale. Mais pourquoi ces experts sont-ils souvent perçus comme des "super généralistes" ? Quelles compétences leur permettent de s’adapter à une telle variété de missions ?Revenons ensemble sur les raisons pour lesquelles les managers de transition incarnent si bien le profil généraliste, tout en décryptant les avantages que cela apporte aux organisations.Qu’est-ce qu’un manager de transition généraliste ?Le manager de transition généraliste est un professionnel expérimenté, capable d’intervenir sur des missions variées et de piloter des enjeux multiples. Contrairement à un expert hyper-spécialisé, il dispose d’une vision globale et transversale des différents domaines de l’entreprise : finance, ressources humaines, opérations, stratégie, etc. Cette polyvalence fait de lui un atout précieux pour des missions nécessitant une vue d’ensemble et une grande réactivité.Son expérience étendue et diversifiée lui permet de naviguer dans des contextes complexes, de s’adapter à des organisations variées et d’apporter des solutions concrètes en un temps record. Mais qu’est-ce qui explique cette capacité d’adaptation hors norme ?Manager de transition vs consultant, quelles différences ?Les clés du succès d’un profil généralisteUne expérience variée accumulée au fil des annéesLa carrière d’un manager de transition est souvent marquée par des postes différents dans des secteurs variés. Cette diversité d’expériences leur confère une capacité unique à comprendre rapidement les enjeux propres à chaque organisation. Par exemple, un manager de transition généraliste ayant exercé des fonctions en RH, en finance et en opérations sera mieux armé pour gérer des projets transverses.Une capacité d’adaptation hors pairIntervenir dans une nouvelle entreprise, souvent en crise ou en pleine transformation, exige de savoir s’adapter rapidement à des cultures, des équipes et des environnements inconnus. Les managers de transition généralistes excellent dans cet exercice grâce à leur grande ouverture d’esprit et leur habitude de jongler entre des rôles différents.Une vision stratégique et opérationnelleEn combinant compétences stratégiques et capacité à agir sur le terrain, ces professionnels parviennent à concilier les besoins immédiats et les objectifs long terme. Ils sont souvent des décideurs pragmatiques capables d’inspirer la confiance des équipes tout en livrant des résultats tangibles.Recruter un manager de transition : les clefs pour faire le bon choixLes avantages pour les entreprisesUne solution à des problématiques variéesQu’il s’agisse de réagir à une situation de crise, de restructurer une unité, de piloter un projet de transformation ou de combler un vide temporaire dans l’équipe dirigeante, le manager de transition généraliste apporte une solution adaptée. Sa capacité à embrasser des problématiques diverses réduit les risques et garantit une exécution efficace.Un gain de temps précieuxEn étant opérationnel dès le premier jour, un manager de transition généraliste évite les longues périodes d’onboarding. Il peut rapidement diagnostiquer les besoins et mettre en place des solutions concrètes, ce qui représente un avantage crucial dans les situations d’urgence.Une réduction des coûtsEn intégrant une expertise transversale, le manager de transition permet souvent d’éviter des coûts supplémentaires liés à l’embauche de multiples experts. Il offre une approche globale, répondant simultanément à des besoins variés avec une seule intervention.En bref : Pourquoi choisir un "super généraliste" ?Le manager de transition généraliste est un véritable caméléon, capable de s’adapter à toutes les situations pour apporter des solutions rapides, concrètes et efficaces. Sa polyvalence, combinée à une expertise stratégique et opérationnelle, en fait un allié de choix pour les entreprises confrontées à des défis complexes.Vous souhaitez en savoir plus sur les managers de transition et comment ils peuvent transformer vos projets ? 
Author picture
Thomas Motti
13 janv. 2025
Enjeux RH
Manager de transition vs consultant : quelles différences ?
Dans le monde des ressources humaines et du recrutement, il n’est pas rare de confondre les rôles de manager de transition et de consultant. Pourtant, ces deux métiers, bien que complémentaires, répondent à des besoins spécifiques et présentent des approches distinctes. Si vous vous interrogez sur leurs différences pour faire un choix éclairé dans votre organisation, cet article est fait pour vous.Qu’est-ce qu’un manager de transition ?Le manager de transition est un professionnel expérimenté, souvent spécialisé dans un domaine précis (finance, RH, opérations, etc.), qui intervient dans une entreprise pour une durée limitée. Sa mission est claire : gérer une situation exceptionnelle.Ses principales missions :Piloter un projet stratégique : fusion-acquisition, restructuration, lancement d’une nouvelle activité.Remplacer un cadre absent : un directeur général en congé ou un responsable RH en départ imprévu.Gérer une crise : rétablir une activité après une période difficile, comme une perte de parts de marché.Le manager de transition agit directement en interne, au sein des équipes. Il occupe une position opérationnelle avec des responsabilités concrètes et des résultats à atteindre sur le court ou moyen terme.👉 Exemple : Une entreprise industrielle en pleine restructuration fait appel à un manager de transition pour réorganiser ses ressources humaines et accompagner les équipes dans le changement.Les clefs pour recruter un manager de transitionQu’est-ce qu’un consultant ?Le consultant, de son côté, est un expert externe qui apporte un regard neuf et des recommandations stratégiques. Contrairement au manager de transition, il ne prend pas les rênes de l’organisation, mais agit en soutien.Ses principales missions :Réaliser un diagnostic : évaluer les processus existants, identifier les points faibles.Apporter des solutions : proposer des stratégies et outils pour améliorer les performances.Accompagner les équipes : former ou conseiller pour aider à la mise en œuvre des recommandations.Le consultant intervient sur une problématique spécifique, mais reste généralement en dehors de l’opérationnel. Sa valeur ajoutée réside dans sa capacité à analyser et à orienter les décisions de l’entreprise.👉 Exemple : Une entreprise souhaite moderniser sa politique de recrutement pour attirer des talents de la génération Z. Elle fait appel à un consultant pour auditer ses pratiques et proposer une stratégie adaptée.Découvrir le profil type d'un consultant RPOLes différences fondamentales entre manager de transition et consultantBien qu’ils partagent un objectif commun – aider les entreprises à surmonter des défis – leurs rôles et modes d’intervention diffèrent largement.1. Position dans l’entrepriseManager de transition : intégré dans la structure, il agit comme un membre temporaire de l’équipe.Consultant : externe à l’organisation, il conserve une posture de conseiller.2. Durée et nature des missionsManager de transition : missions de 3 à 18 mois, avec des responsabilités opérationnelles immédiates.Consultant : interventions plus courtes ou ponctuelles, souvent axées sur l’analyse et le conseil stratégique.3. Objectifs et résultats attendusManager de transition : obtenir des résultats mesurables (réduction des coûts, amélioration des processus).Consultant : fournir des recommandations pour guider l’entreprise vers ses objectifs.4. Compétences mobiliséesManager de transition : leadership, gestion de crise, expérience terrain.Consultant : analyse, vision stratégique, maîtrise des outils méthodologiques.Comment choisir entre un manager de transition et un consultant ?Le choix dépend avant tout de votre besoin :Si vous traversez une période critique ou que vous avez besoin de combler une absence stratégique, optez pour un manager de transition.Si vous souhaitez bénéficier d’un regard externe ou élaborer une stratégie sur le long terme, privilégiez un consultant.Pour conclureEn résumé, le manager de transition est votre allié en période de changement immédiat ou de crise, tandis que le consultant vous accompagne dans une réflexion stratégique et structurée. Ces deux profils sont complémentaires et peuvent, dans certains cas, collaborer pour maximiser leur impact.Si vous êtes en quête d’un expert pour répondre à vos besoins spécifiques, nos équipes spécialisées sont à votre disposition pour vous guider vers le bon choix.Contactez-nous dès aujourd’hui et trouvez le professionnel qui transformera vos défis en opportunités !
Author picture
Thomas Motti
6 janv. 2025
Enjeux RH
Recruter un manager de transition : les clefs pour faire le bon choix
Choisir un manager de transition est une étape déterminante pour assurer la réussite d’une mission ponctuelle mais stratégique. Dans des situations de transformation, de crise ou d’optimisation, ces professionnels chevronnés agissent comme des accélérateurs de performance. Mais comment bien recruter ce profil rare, capable de s’intégrer rapidement et de produire des résultats concrets ? Voici les clefs pour choisir le bon manager de transition avec méthode et sérénité.Pourquoi recruter un manager de transitionUn manager de transition, ce n’est pas un collaborateur comme les autres. Ce n’est pas non plus un consultant. Alors pourquoi faire appel à lui ?Imaginez une entreprise confrontée à une vacance de poste critique, une fusion à orchestrer ou un projet de transformation bloqué. Le manager de transition intervient alors comme un pilote d’urgence : il prend le volant, redresse la situation et trace la route pour l’avenir.Son rôle est opérationnel, mais également stratégique. Il arrive, analyse rapidement, propose des solutions concrètes et, surtout, il agit. Ce profil est particulièrement adapté lorsque :Le timing est serré.Les enjeux sont cruciaux.Les compétences nécessaires ne sont pas disponibles en interne.Avoir recours à un manager de transition pour gérer une communication de criseChoisir le bon manager de transition : les critères essentielsPour choisir efficacement un manager de transition, trois critères principaux doivent guider votre décision :L’expérience : Un manager de transition ne vient pas pour apprendre, mais pour résoudre un problème. Il doit pouvoir justifier d’expériences réussies dans des contextes similaires au vôtre. A-t-il déjà mené une restructuration d’équipe ? Accompagné un projet IT complexe ? Ses succès passés sont vos meilleures garanties.Le leadership : Au-delà des compétences techniques, un bon manager de transition sait emmener les équipes avec lui. Il doit inspirer confiance, imposer sa crédibilité tout en restant humain et accessible.L’adaptabilité : Chaque entreprise a sa propre culture, ses codes et ses défis. Le bon manager saura s’intégrer rapidement et comprendre les spécificités de votre organisation sans perturber son équilibre.Recrutement, formation, conseil : les multiples casquettes du DRH à temps partagéLa méthode pour recruter un manager de transition avec efficacitéRecruter un manager de transition peut sembler intimidant. Après tout, la mission est souvent urgente. Voici comment organiser un processus de recrutement fluide et efficace :1. Cadrez la mission en amontAvant de commencer, prenez le temps de poser les bases :Quel est le contexte ? Transformation, crise, projet stratégique ?Quels résultats attendez-vous ? Objectifs chiffrés, livrables spécifiques, timing ?Quelles ressources seront mises à sa disposition ? Équipe, budget, outils ?Une mission claire facilitera la recherche du candidat idéal et donnera au manager de transition un cap dès son arrivée.2. Faites confiance aux experts du recrutementLes cabinets spécialisés dans le management de transition sont de véritables partenaires pour identifier rapidement le bon profil. Leur réseau de managers disponibles et expérimentés constitue un atout majeur pour vous faire gagner du temps et éviter les erreurs de casting.3. Allez au-delà des entretiens classiquesLes entretiens permettent de cerner la personnalité et l’expérience d’un manager, mais ne vous arrêtez pas là. Testez sa réactivité face à un cas pratique, demandez-lui de partager des exemples concrets de réussites passées et prenez le temps d’échanger avec ses anciens clients.Réussir l’intégration d’un manager de transition : une étape cléL’une des erreurs fréquentes lorsqu’on recrute un manager de transition est de croire qu’il peut « se débrouiller seul » dès son arrivée. Même s’il est autonome, un manager de transition a besoin d’un onboarding efficace pour être rapidement opérationnel.Transmettez le contexte et les objectifs : Un brief complet avec les enjeux, les attentes et les équipes concernées est essentiel pour qu’il prenne ses marques rapidement.Présentez-le aux équipes : Sa légitimité repose aussi sur votre soutien. Montrez que vous lui faites confiance et qu’il dispose de votre appui.Fixez des objectifs de court terme : En identifiant des « quick wins », vous créez un premier impact positif, renforçant la confiance des équipes et des dirigeants.Assurez le suivi et la réussite de la missionUn manager de transition n’est pas un collaborateur permanent : son objectif est de résoudre un problème, puis de passer le relais. Pour garantir la réussite de sa mission, adoptez un suivi régulier :Organisez des points d’étape hebdomadaires pour évaluer l’avancement.Mesurez les résultats obtenus grâce aux indicateurs définis dès le début.Prévoyez une phase de transmission en fin de mission : le manager de transition doit s’assurer que ses actions sont pérennes et que vos équipes sont prêtes à prendre le relais.Le mot de la fin : bien recruter, c’est préparer l’avenirRecruter un manager de transition, c’est faire un pari gagnant sur le court terme, tout en préparant le long terme. En mobilisant un expert capable d’agir vite, de fédérer vos équipes et de produire des résultats tangibles, vous transformez un moment critique en opportunité pour votre organisation.Ne négligez donc aucune étape : identifiez vos besoins, choisissez le bon profil, facilitez son intégration et suivez son action jusqu’au bout. Un manager de transition bien recruté est un allié précieux pour conduire le changement et assurer la continuité de votre performance.Vous avez un besoin urgent de recruter un manager de transition ? Faites appel à des experts pour vous accompagner et trouver le bon profil en un temps record. 
Author picture
Thomas Motti
17 déc. 2024

Parlez-nous de votre projet

Vélocité
  • Tick icon

    Mission lancée en 48h

  • Tick icon

    Candidats présentés en moins de 2 semaines

  • Tick icon

    Time to fill de 50 jours

Efficacité
  • Tick icon

    720+ recrutements réussis cette année

  • Tick icon

    Expérience candidat 5 étoiles

  • Tick icon

    Des clients prestigieux comme

    Company logoCompany logoCompany logoCompany logoCompany logo
Calendar icon

Prendre rendez-vous

Vous souhaitez nous déposer votre CV ? Remplir le formulaire candidat

Company logoNous répondons en moins d'une heure

Bienvenue chez GetPro

Un membre de mon équipe va vous répondre d’ici quelques minutes. Nous allons revoir ensemble votre projet de recrutement et vous faire une proposition d’accompagnement sur-mesure dans les 24h.

Pour en savoir plus sur la manière dont nous opérons nos missions, vous pouvez lire les témoignages de nos clients. Ce sont eux qui en parlent le mieux.

À bientôt,

Emile Pennes picture
Emile PennesCo-fondateur de GetPro
Logo